Let It Come Down: The Life Of Paul Bowles


informations de publication: Novembre 30, 1999; Toronto; Library and Archives Canada - Canadian Feature Film Database (LAC); Novembre 30, 1999; Toronto (Bloor); Library and Archives Canada - Canadian Feature Film Database (LAC); Novembre 30, 1999; Toronto; Library and Archives Canada - Canadian Feature Film Database (LAC); Novembre 30, 1999; Toronto (Bloor); Library and Archives Canada - Canadian Feature Film Database (LAC); Février 12, 1999; Toronto; Library and Archives Canada - Canadian Feature Film Database (LAC); Février 12, 1999; Toronto (Bloor); Library and Archives Canada - Canadian Feature Film Database (LAC); Février 12, 1999; Toronto; Library and Archives Canada - Canadian Feature Film Database (LAC); Février 12, 1999; Toronto (Bloor); Library and Archives Canada - Canadian Feature Film Database (LAC)

Budget: Coût réel $300,000; Budget: $300,000

Détails de production


Producteur Exécutif: Daniel Iron; Daniel Iron; Daniel Iron; Daniel Iron; Daniel Iron

73 minutes, 1996

Paul Bowles, qui a vécu à Tanger au Maroc, pendant plus de 50 ans, est un iconoclaste par excellence. Il quitte définitivement les États-Unis dans les années 1940 après s'être bâti une brillante carrière de compositeur; il rejette l'identité héroïque nécessaire à l'expatriation des écrivains américains et se plonge dans la culture d'Afrique du Nord. Écrivain pour les écrivains, ses fréquentations appartiennent aux cercles culturels prestigieux du siècle. À vingt ans, il est un intime de Gertrude Stein et d’Aaron Copeland; à trente ans, il est le pair de Tennessee Williams, Truman Capote et Gore Vidal ; à quarante ans, il est le parrain littéraire des écrivains de la « beat generation » comme William Burroughs et Allen Ginsberg. Son mariage peu orthodoxe avec l’écrivaine Jane Bowles – tous deux étaient homosexuels et ont eu de nombreuses relations extraconjugales tout au long de leur mariage – est légendaire. Ensemble, ils forment un aimant qui attire un groupe incroyable d’écrivains et d’artistes à venir profiter des libertés exotiques du Maroc avant que le pays ne devienne indépendant.
Dans ce film biographique, Paul Bowles, au tempérament laconique et reclus notoire, parle enfin franchement de sujets sur lesquels il est resté silencieux au fil des années. Allongé au lit dans sa maison de Tanger, fumant de l’herbe avec un élégant porte cigarette noir, il réfléchit sur sa vie, son travail, Jane, l’amour et ses amis avec une candeur sans précédent. À 87 ans, son ton est presque omniscient comme s’il regardait la vie et la mort d’un point d’observation élevé provisoire. Le film est construit autour de monologues dans lesquels il se révèle, interrompus par diverses voix qui viennent commenter, contester et clarifier ses dires. La principale de ces voix est celle de William Burroughs qui agit comme une sorte de commentateur de la version que donne Bowles de sa vie.

Source: Bibliothèque et Archives Canada - Base de données canadienne du long métrage (BAC)

Remarques contribué

User login

Créer un calendrier

Aimeriez-vous pour voir comment le cinéma canadien a augmenté? Créer un calandrier

Découvrez films

Learn more about film

Would you like to learn more about Canadian Film? Athabasca University has a number of courses on media studies and film. Become a student today!

Canadian Film Online Act

Films

Explorer

Commentaires

Interviews

Personnes

Explorer

Commentaires

Interviews

Recherche

Resources

Commentaires

Interviews

Politiques

Explorer

Commentaires

Interviews

Let It Come Down: The Life Of Paul Bowles

Détails de production

Remarques contribué